Quand le geek se transforma en con-sot-mateur…

geekForce est de constater que les médias, les nouvelles générations et différentes pratiques ou marques – tels que, respectivement, Facebook ou Apple – ont transformé tranquillement, mais sûrement le terme « geek ». Du temps 1.0, cette époque où l’accès à l’informatique était encore marginal et que peu de gens maîtrisaient cette bête qu’on nomme ordinateur, le geek était ceci :

« Geek (/gik/), parfois francisé en « guik » est un terme d’argot américain, qui désigne une personne renfermée et extrêmement pointue dans un domaine précis (souvent lié aux nouvelles technologies). Du fait de ses connaissances pointues, le geek est parfois perçu comme trop cérébral. » Wikipédia

Le geek était donc, en tant que stéréotype, un type un peu gras qui se nourrissait que de junk food (ou à l’inverse tout maigre comme une branche de céleri) tout en démontant/remontant son PC, bidouillant ses logiciels, programmant pour le plaisir. Il était célibataire, sa sociabilité s’arrêtait à une communauté d’informaticiens/hackers/autres geeks. Il aimait forcément Star Strek, la fantasy, la SF, ou avait un domaine de prédilection dans un tel univers de fiction (sauf des fictions telles que plus belle la vie, entendons-nous bien). Attention le geek n’était pas forcément no-life (ceux qui passent un temps infini sur les jeux de rôle en ligne), mais pouvait quand même cumuler sa geekerie et sa no-life. Voilà pour le portrait extrême du geek 1.0 d’origine.

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